Qui peut bénéficier de l’assurance décès ?

Il est important de rappeler que l’assurance décès est ouverte à tous ceux qui souhaitent se constituer un capital pour protéger ses proches, son conjoint, ses enfants ou ses parents en cas de décès, tant qu’ils ont atteint la majorité civile. L’assuré ne récupère pas lui-même son capital décès garanti. Cet argent ne sera débloqué qu’à son décès. Ainsi, les cotisations et le capital qu’il a versé seront octroyés aux personnes qu’il a désignées comme bénéficiaires.

Il a le choix entre :
• Nommer directement ses bénéficiaires dans le contrat
• Les inscrire dans un testament annexe dont l’assureur prend connaissance au moment du décès du souscripteur
• Les communiquer par lettre recommandée avec accusé de réception même plusieurs années après la souscription à la compagnie d’assurance

Comme bénéficiaires, le souscripteur peut choisir parmi ses héritiers naturels (qui sont déterminés par la loi au titre des droits de succession), ses proches, les membres de la famille éloignée ou même ses amis.

La procédure de versement de l’assurance après un décès

Il faut rappeler que l’assurance décès est différente de l’assurance vie, pour la simple raison que la première est une assurance proprement dite faite auprès d’une compagnie d’assurance tandis que la seconde est un placement financier ou d’épargne ayant pour but de se constituer un capital auprès d’une banque ou d’un assureur. Comme le précise le site de conseils et de services pour anticiper et accompagner la fin de vie accessible sur odella.fr, le processus de versement de l’assurance décès ne se déclenche qu’au décès du souscripteur. La compagnie d’assurance effectue le versement d’un capital garanti dont le montant est déterminé d’un commun accord. Quand le risque survient, l’assureur libère le capital et le verse aux bénéficiaires.

Les causes du décès du souscripteur peuvent être nombreuses, voilà pourquoi les assurances décès sont présentées en plusieurs formules pouvant ainsi couvrir différentes situations. Une formule classique couvre par exemple la mort par accident, les maladies. Tandis qu’un contrat d’assurance décès toutes causes couvre tous les risques auxquels le souscripteur peut être exposé et garantit même la mort naturelle ou le suicide. Il est important de rappeler que si le suicide a lieu moins d’un an après la souscription, les bénéficiaires ne profiteront pas du capital.

Pour trouver la meilleure assurance décès correspondant à vos besoins, il est conseillé de faire une comparaison des différents contrats d’assurance avant de souscrire. C’est une méthode qui prend du temps certes, mais qui reste avantageuse puisqu’elle vous permet de faire des économies et de trouver l’assurance la plus intéressante selon vos critères. Pour gagner du temps, vous pouvez également passer par un courtier en assurance qui vous propose l’assurance décès la plus adéquate à vos besoins.

Dites la vérité

Selon les psychologues, il est inutile de mentir ou de cacher la vérité. Protéger ses enfants dans ce type de cas peut devenir problématique à l’avenir, car la mort est une réalité à laquelle ils seront confrontés. Dîtes-leur la vérité ou montrez-leur la photo sur l’avis de décès écrit comme sur https://carnet.leparisien.fr/actualites/carnet-pratique/deces/. Allier le visuel et l’oral est fortement recommandé lorsqu’il est question d’un enfant de moins de 7 ans. Il lui sera plus facile d’assimiler la situation et de poser les questions qui le taraudent.

Utilisez les bons vocabulaires

L’enfant ne comprend pas – ou peu – le langage des adultes. Vous devez donc vous mettre à sa hauteur et utiliser des vocabulaires qu’il comprend pour lui expliquer le décès. Le but est d’éviter une confusion dans son esprit en usant de métaphores complexes.

Un cas survenu il y a quelques années, lors des études menées par le psychologue Patrick Ben Soussan est révélateur. Le récit fait état d’un parent qui a expliqué la mort d’un grand-père à sa petite fille en utilisant le thème « il est la petite étoile dans le ciel du soir ».

L’enfant en a donc conclu que son grand-père était une étoile maintenant. Le plus important est donc de bien choisir les mots à utiliser, en tenant compte de l’âge de l’enfant.

Acceptez de répondre à ses questions

Dans certains cas, l’enfant aura du mal à assimiler en quelques minutes la signification de vos mots. Il aura des questions à vous poser, beaucoup même. C’est généralement à cette étape que les parents perdent leur sang-froid, car eux-mêmes sont encore bouleversés.

Or, vous énerver sur votre enfant n’est pas une très bonne idée. Au contraire, vous risquez de le braquer et de causer plus de dégâts. Durant ces moments, sachez garder votre sang-froid et avoir du recul sur ce que vous ressentez pour ne prioriser que l’enfant.

Annoncez le décès en famille

Le fait de voir son papa et sa maman ensemble pour lui expliquer la situation oblige l’enfant à être plus attentif. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles, les psychologues conseillent vivement aux parents d’être présents lors de cette annonce. Pendant que l’un explique, l’autre caresse doucement l’enfant. Lorsque celui qui explique commence à perdre pied, l’autre prend le relais.

Pour informer les proches et les amis, il est recommandé de contacter une agence spécialisée comme Carnet du Finistère, si vous habitez dans ce département. Ce dernier dispose de formulaires dédiés afin de rédiger rapidement les avis de décès.

Soyez présent

D’après les statistiques, dans 70 % des cas, l’enfant de moins de 7 ans oublie vite le décès d’un grand-parent. Par contre, durant les périodes où les souvenirs seront encore vivaces, il cherchera votre réconfort. Soyez donc présent pour le lui apporter. C’est d’autant plus important lors de la cérémonie de crémation ou d’inhumation.

L’enfant de cet âge sera sensible aux émotions des adultes qui l’entourent et peut réagir de différentes manières : pleurer, être amorphe, se murer dans le silence ou exploser. Que ce soit l’un ou l’autre, le bien-être de votre enfant doit primer. Apportez-lui la douceur et le soutien affectif qu’il demande.

Que couvre la mutuelle de santé ?

Le remboursement de la Sécu s’élève à 70 %. Attention, la Sécu ne prend en compte que les tarifs conventionnels. Restent à votre charge alors les 30 % et la différence entre les tarifs conventionnels et les tarifs réels. Cela peut faire beaucoup. Les frais de santé peuvent vite vider votre compte en banque. Souscrire à une mutuelle de santé vous permet d’alléger vos charges. Elle paye la différence entre les frais réels et le remboursement de l’assurance maladie. De même pour les exclusions de la Sécu comme les soins dentaires et optiques.

Quel type de mutuelle de santé est fait pour vous ?

Avant d’utiliser ce comparateur de mutuelle de santé mutuelleinfo.fr, vous devez d’abord connaitre les types de mutuelle de santé pour mieux trouver celle qui vous convient. Il existe différents types de mutuelles de santé. Il y a d’abord la mutuelle de santé collective obligatoire souscrite par les employeurs pour leurs employés. L’employé prend en charge alors 50 % des cotisations pour la mutuelle. L’adhésion à cette mutuelle est obligatoire pour tous les salariés. Néanmoins, la formule est généralement basique. Si votre état de santé en général nécessite des soins réguliers sur certains postes, il vaut mieux souscrire à une mutuelle de santé individuelle. Dans ce cas, renseignez-vous sur les garanties incluses dans la mutuelle obligatoire afin d’éviter les doublons. Sachez que sous conditions de ressources, il est possible de jouir d’un complémentaire santé solidaire à la place de la mutuelle individuelle. Par ailleurs, vous pouvez souscrire une mutuelle santé familiale pour couvrir tous les membres de la famille dans un même contrat. En bonus, vous obtenez une réduction sur la cotisation dès le 2 ou 3ème enfant selon l’assureur. Enfin, il y a la mutuelle de santé jeune qui est faite pour les jeunes actifs et les étudiants avec des tarifs réduits.

Les raisons qui peuvent empêcher une femme de tomber enceinte

Concevoir un enfant n’est pas facile pour tous les couples. Pour certains, cela s’avère une tâche ardue. La difficulté de tomber enceinte peut être due à plusieurs causes. Selon les études, l’âge de la mère en est une raison. À partir de 30 ans, la fertilité féminine diminue. Tomber enceinte devient vite difficile à partir de 35 ans. Ainsi, ne laissez pas filer les années pour vous décider à avoir un bébé.
L’alcool aussi diminue la fertilité aussi bien chez la femme que chez l’homme. En effet, il faut savoir que si un couple a des difficultés à concevoir, le problème ne vient pas forcément de la femme. Il arrive dans des cas fréquents que c’est l’homme qui ne parvient pas à procréer. Pour la femme, le tabac et le café diminuent aussi sa chance d’avoir un bébé.
Enfin, votre poids peut affecter votre fertilité. Mesdames, si vous êtes en surpoids, pensez à maigrir efficacement. Mais, une maigreur trop importante peut aussi empêcher bébé d’arriver.

Comment augmenter votre niveau de fertilité ?

Pour concevoir le plus beau des bébés, commencez par vous éloigner de toutes sources de stress. Relaxez-vous, cela vous permet de mettre toutes les chances de votre côté. Vous devez aussi apprendre à reconnaitre une fécondation réussie. Si vous ressentez ces signes, vous pouvez commencer à vous réjouir et oublier le stress de l’attente.
Pour augmenter vos chances de tomber enceinte, utilisez un test d’ovulation, notamment si vous ne faites pas l’amour souvent. Ce test d’urine vous indique si le moment est propice ou non à la fécondation. Si vous faites un rapport trop en avant, les spermatozoïdes ne pourront plus féconder l’ovule. La durée de vie de ceux-ci est environ de quatre jours. Pour l’ovule, c’est de 48 heures en moyenne. Sachez aussi que certaines positions peuvent favoriser la fécondation. Il semble que celle où la femme est allongée sur le dos est plus favorable à la conception. Visez également l’orgasme. Grâce aux contractions que cela provoque, les spermatozoïdes peuvent monter plus rapidement vers l’utérus.
Faites également attention à votre alimentation. Celle-ci joue un rôle important sur votre niveau de fertilité. Dès que vous décidez de tomber enceinte, arrêtez les régimes hypocaloriques. Ceux-ci vous permettent, certes de maigrir, mais auront un impact hormonal. Mangez des repas équilibrés. Ajoutez aussi à vos menus des aliments qui améliorent la fertilité. Ceux qui sont riches en vitamine C, D et en Oméga 3 favorisent la fécondation. Ainsi, consommez régulièrement du brocoli, des oranges, des poivrons, des poissons, des huitres, du crabe, du lait, du fromage, etc. Ajoutez à cela des exercices physiques réguliers. Soyez dans la meilleure forme possible. Ainsi, bébé viendra plus facilement.

Des méthodes expérimentales pour le détatouage

Bien que les résultats ne soient jamais assurés, il est possible de réaliser soi-même un détatouage. Certaines personnes utilisent des produits abrasifs tels que le sel pour essayer de se débarrasser d’un tatouage gênant. Il y a également celles qui essaient des crèmes expérimentales. Un étudiant en doctorat de l’Université Dalhousie, à Halifax a par exemple mis au point un produit qui aurait permis de se détatouer sans douleur. Une autre technique expérimentale consiste à injecter une crème sous la peau pour que l’encre utilisée pour le tatouage remonte à la surface. Cette méthode montre de l’efficacité sur tous les pigments, mais le résultat demande beaucoup de temps. Il faut plus de 8 séances pour arriver à tout enlever. Puis le risque d’infection est assez élevé.

Recourir au laser ou la chirurgie pour effacer le tatouage

A ce jour, le recours au laser reste la meilleure option pour le détatouage. Cela dit, cette solution demande 6 à 8 séances. Le passage de la lumière pulsée sur la peau fera un peu mal, mais l’application d’un produit anesthésiant atténuera la douleur. Cette intervention doit obligatoirement être réalisée par un dermatologue. A la rigueur, certains types de laser de détatouage peuvent être manipulés en institut de soin du corps, mais il faudra tout de même les compétences d’un professionnel.
Dans certaines circonstances, la chirurgie peut aider à se débarrasser d’un vilain tatouage. La partie de la peau sera tout simplement enlevée. Elle repoussera.

Pas de remboursement de la sécurité sociale

Anne Ferdinand, qui opère sur Biarritz vous a soigné. Vous avez été satisfait des consultations et de ses prises en charge. Vous allez aujourd’hui très bien. L’heure est au bilan financier : que prend en charge la sécurité sociale dans ce traitement ostéopathique ? Eh bien, sachez que l’état ne rembourse aucune dépense réalisée dans le cadre d’un traitement relevant de l’ostéopathie. Malgré la reconnaissance officielle de cette médecine douce, vous n’obtiendrez aucun remboursement des frais engagés pour vous faire soigner.

Des remboursements en complémentaire santé

Comment alors alléger les charges financières engendrées par les consultations que vous avez effectuées auprès d’une ostéopathe à Biarritz ? Sachez que certaines mutuelles peuvent vous rembourser. En fait, si l’ostéopathie vous intéresse, il est recommandé de prendre une complémentaire santé qui prévoit un remboursement des frais occasionnés par une consultation auprès d’un ostéopathe. De plus, étant donné qu’il faut souvent plusieurs séances pour un traitement, les dépenses sont susceptibles d’augmenter fortement.

Des frais à prévoir

Vous n’aimez pas trop l’idée de devoir souscrire une assurance complémentaire ou une mutuelle, car vous n’avez pas envie d’être contraint de payer une cotisation chaque mois ? Dans ce cas, jouez la carte de la prévoyance en souscrivant une épargne. Ainsi, vous aurez toujours les fonds nécessaires en cas d’urgence médicale, y compris pour une consultation auprès d’un ostéopathe à Biarritz. Attention, ce n’est pas d’un placement dont il est question ici. Il s’agit d’une simple épargne que vous pouvez mobiliser lorsque vous en aurez besoin et qu’aucune autre solution ne se présente.

Du sport au quotidien, c’est bénéfique !

Il est préférable, malgré la diminution des capacités physiques du senior, qu’il fasse du sport. Ce sont les fréquences et les intensités qui doivent être adaptées à leur condition physique pour éviter les accidents. De plus, ces séances sportives, même minimes, doivent s’effectuer sous la surveillance d’une tierce personne, pour la sécurité de nos seniors. Il existe à Paris des agences qui peuvent fournir de l’aide à domicile. Elles proposent une solution complète d’aide à domicile. L’aide, en plus des tâches ménagères qu’on leur a assignées, va jusqu’à accompagner les personnes âgées à leurs séances de sport.

Quel sport pratiquer ?

Si la personne âgée a été un sportif dans sa jeunesse, ce choix n’aurait pas lieu d’être. Elle continuera dans cette voie, mais réduira l’intensité à son rythme. Par contre, pour un senior qui n’a pas été très sportif, l’activité la mieux adaptée reste alors la marche. Pratiquée quotidiennement, la marche lui procure de multiples avantages. Tout d’abord, le fait de sortir de la maison lui permet de prendre l’air. Ensuite, la marche améliore la circulation sanguine. Comme les personnes âgées sont plus sujettes aux accidents vasculaires, cette activité leur permettra de réduire ce risque. Pratiquer du sport est aussi le meilleur moyen de repousser au maximum la perte d’autonomie. Si vous avez envie de vous adonner à une autre activité physique, tenez compte de votre condition physique avant de vous lancer. Entretenez-vous avec votre médecin pour vérifier que cette activité est adaptée à votre état de santé.

Le rôle de l’opticien

Suivant l’ordonnance de votre ophtalmologiste, l’opticien réalise les lentilles ou les lunettes adaptées à votre correction, tout en se souciant de l’aspect esthétique. Il vous accueille dans son magasin où vous pouvez choisir parmi de nombreux modèles de montures, de formes et de teintes de verre. Il en est de même pour les lentilles de contact. L’opticien vous oriente dans votre choix en tenant compte de nombreux paramètres. Le type de verre et les traitements sont proposés en fonction de vos problèmes de vue et de vos activités quotidiennes. Il vous faut un dispositif spécifique si vous êtes un conducteur ou un sportif, si vous travaillez sur PC ou si vous êtes un grand lecteur. Il propose donc un accompagnement sur mesure et vous oriente vers un verre anti-buée si vous êtes un cuisinier ou encore un verre antireflet si vous travaillez sur PC.

Critères pour choisir votre opticien

Ne vous contentez pas de choisir un opticien proposant une multitude de produits dans son showroom. Privilégiez les professionnels comme Grand Optique du bassin, qui proposent un accompagnement sur mesure à chaque client. Un bon opticien vous propose des lentilles et des lunettes en fonction de votre carnation et la forme de votre visage. Puis, il propose des produits esthétiques et confortables à la fois. Enfin, référez-vous aux garanties proposées par le professionnel puisque les lunettes sont des objets fragiles et coûtent cher, qui plus est.

Ce qu’il faut savoir sur le test ADN

Le test de paternité a pour objectif d’établir l’existence ou non d’un lien de filiation entre un enfant et son présumé père. Le test est effectué à partir d’un échantillon d’ADN obtenu par frottis buccal. L’échantillon de salive et de cellules de l’intérieur de la joue est prélevé sur des écouvillons.  Ce sont des bâtonnets avec un embout de coton.
Sachant qu’un enfant hérite un patrimoine génétique du père et de la mère à la fois, avec ce test, on peut démonter si l’enfant a reçu ce patrimoine du présumé père ou pas. Mais, avec les offres de tests qui se propagent partout sur Internet, proposés par des laboratoires locaux et des laboratoires étrangers, il est difficile de trouver un test fiable. Il est alors recommandé d’opter uniquement par un laboratoire accrédité comme https://www.pro-paternite.com/. Sur ce site, vous pouvez voir que le laboratoire dispose de plusieurs accréditations.

Qu’est-ce qui garantit la fiabilité d’un test ?

Les laboratoires exploitent les informations dans les segments non codants du génome humain. Ce décodage assure un résultat fiable à 98%. Avant, on analysait 11 marqueurs ADN seulement. Actuellement, on analyse 16 à 23 marqueurs, rendant le résultat encore plus fiable. Si la mère participe également au test, la fiabilité du test peut grimper jusqu’à 99,99%. En fait, ce décodage est basé sur des calculs mathématiques. Alors, plus on a de données à traiter, plus le résultat est fiable. Faire participer la mère permet d’isoler le patrimoine biologique que l’enfant a reçu de sa mère. Ce qui permet de concentrer le test exclusivement sur le patrimoine biologique laissé par le père.

La localisation de l’établissement de santé

C’est un des premiers critères à ne pas négliger dans le choix d’un établissement. Choisir un hôpital qui se trouve à proximité de chez vous peut être rassurant pour vos proches, notamment dans le cadre d’une hospitalisation prolongée. Cela facilite les visites régulières et permet un retour plus rapide au domicile après l’hospitalisation. Pourquoi d’ailleurs aller plus loin si votre problème de santé est correctement pris en charge dans un hôpital de proximité ?

Les activités et les particularités des centres hospitaliers

Un établissement de santé qui excelle dans tous les domaines de la chirurgie et la médecine n’existe pas. Oui, un hôpital peut être à la pointe dans un domaine médical particulier et non dans les types de traitement. Choisir un établissement hospitalier expert de votre problématique santé, c’est l’assurance d’être pris en charge par des praticiens experts, et de bénéficier des meilleurs soins.

Autres critères à prendre en compte

Pour être certain de faire le bon choix, prenez également le temps de comparer quelques établissements de santé sur la base d’indicateurs objectifs tels que le materiel hospitalier. Bien évidemment, l’établissement de santé choisi doit disposer d’un matériel hospitalier performant et complet, dont du matériel de transport, des équipements de réanimation, des matériels de diagnostic médical, des équipements de qualité pour les chambres (lit, matelas, mobilier, etc.). Un matériel hospitalier adéquat est important pour un institut médical qui veut traiter les patients dans de bonnes conditions. Si vous choisissez de vous faire soigner dans un établissement de santé privé, informez-vous sur son statut : conventionné ou non. Les instituts de soins non conventionnés sont, d’une manière générale, moins pris en charge par la Sécurité sociale, et aussi par la mutuelle. En effet, les tarifs appliqués dans un établissement de santé non conventionné comprennent souvent des dépassements d’honoraires importants. Certes, votre mutuelle santé couvrira une partie des frais. Mais le montant restant à votre charge pourrait être élevé.